Le Bilan de Compétences : que sont ils devenus ?

parcours post bilan de compétences

Des candidats témoignent..

  • Que sont ils devenus, 2 ans après leur bilan de compétences ?
Ils se livrent et vous font partager leur histoire..

Nadia a 36 ans. Elle est vendeuse dans une boutique de vêtements depuis 5 ans.
Elle y est rentrée une fois son bac en poche, grâce à une amie qui avait fait passer son CV auprès de la directrice.

Au départ ca lui plaisait, mais progressivement le stress se fait ressentir.
La vente en ligne fait de plus en plus de concurrence au magasin, et la direction continue à maintenir des objectifs de vente très hauts. Les résultats ne suivent pas ; et Nadia ne peut rien faire..

Elle commence à aller à son travail la boule au ventre, elle se sent désemparée. Le plaisir qu’elle prenait à son travail a complètement disparu.
Au bout d’un moment, elle prend conscience qu’elle stresse pour … rien. Juste des objectifs commerciaux qui ne tiennent pas compte de la réalité.

Elle décide de faire appel à un centre de bilans de compétences, pour y voir plus clair. Elle fait appel à TIMETO, car c’est le 1er centre qui répond à ses demandes de renseignements.
Lors du bilan d’orientation elle apprend qu’elle est faite pour différents métiers ; dont celui d’auxiliaire puéricultrice. Elle savait, avant de faire le bilan, qu’elle était faite pour le domaine social mais n’avait pas d’idée plus précise. En étudiant les caractéristiques du métier (salaire, temps de formation) elle est rassurée ; la réorientation lui semble tout à fait faisable.

Elle se renseigne auprès de personnes de son entourage exercant comme auxiliaire de puériculture, cela la conforte dans sa motivation. De plus, sa mère, aide soignante lui parle des métiers du soin. Elle se sent de plus en plus confortée.
Finalement, elle monte un dossier de demande de financement auprès du Fongecif. La demande sera malheureusement refusée car d’autres dossiers sont plus prioritaires. Le Fongecif finance en priorité les formations auprès des personnes dont l’emploi est menacé.

Nadia sait que tout n’est pas perdu. Elle peut utiliser d’autres financements. Elle a hâte que la prise en charge soit acceptée; à présent elle sait quelle direction prendre ; elle sait que sa réorientation n’est qu’une question de temps. Le bilan de compétences l’a aidée à prendre du recul ; à prendre des décisions réfléchies.
A présent, quand sa directrice lui fait des reproches, elle arrive à prendre du recul, car elle sait que son avenir est ailleurs.

Marianne, 47 ans, est assistante administrative dans une grande entreprise en région parisienne.
Quand elle était plus jeune, elle n’était pas faite pour les études ; elle avait d’ailleurs loupé son bac, ce qui l’avait découragé à continuer sa scolarité.
Elle s'était mise à chercher un emploi et avait trouvé un poste d’opératrice de saisie. Progressivement, elle avait évolué dans l’entreprise et était devenue assistante administrative. Son travail lui plait.

Mais un jour, la curiosité vient la titiller ; elle se demande : ‘Et si je pouvais faire autre chose’. Elle se sent bien dans son travail, mais, en même temps, il n’a jamais été une passion non plus. Peut être qu’à la quarantaine, on a besoin d’évoluer..

Bref, elle décide, sur un coup de tête de demander des informations à des centres de bilans de compétences. La démarche de Timeto lui parait intéressante ; elle se dit ‘pourquoi pas’.
Lors du bilan, ce qui la marque particulièrement, c’est le test de personnalité ; et en particulier les résultats ‘psychotechniques’ concernant la confiance en soi, l’estime de soi, etc.. Elle n’avait jamais pris conscience que si, jusque là, elle n’avait pas cherché à avoir un poste 'meilleur' que le sien c’était tout simplement car au fond d’elle, elle ne s’en sentait pas capable. Elle décide qu’il est temps de progresser, et demande à sa coach un accompagnement pour l’aider à avoir plus confiance en elle. Avec des exercices pratiques, elle parvient à se rendre compte qu’elle est capable d’avoir plus de responsabilités, de prendre des décisions, etc. Finalement, son échec au bac l’avait conditionné dans l’idée que ‘le succès est plus pour les autres’.

Elle voit du coup son travail sous un nouveau jour. Il lui satisfait toujours, mais elle prend plus de recul, devient plus observatrice, se sent moins ‘le nez dans le guidon’.
Environ 6 mois après le bilan, coup de théatre, sa direction lui propose un nouveau poste : ‘Gestionnaire technique’. Elle accepte. Elle est sereine ; elle sent qu’elle a les capacités pour ce poste. Et elle se sent encore mieux ; ses fonctions ont changé ; elle a plus de responsabilités.

Cela fait maintenant 1 an qu’elle exerce ses nouvelles fonctions.
Elle pense que si elle n’avait pas fait le bilan, elle ne se serait pas senti capable. Elle l’aurait peut être accepté mais ca lui aurait été pénible au quotidien. Finalement, une petite idée, à un moment donné, lui a permis de découvrir ses capacités, et d’évoluer en douceur dans son entreprise

Faire un Bilan de Compétences

Laurent, 51 ans, est responsable commercial dans une grande marque d’alcool. Il a travaillé dur pour atteindre un poste avec de telles responsabilités ; il éprouve une certaine fierté d’être parvenu à un tel niveau, à la fois en terme de fonction qu’en terme de salaire.

Depuis quelque temps pourtant, il ne supporte plus sa hiérarchie.
De nouveaux chefs sont arrivés, et prennent des décisions qui servent leurs intérêts personnels au détriment de l’entreprise. Au départ, cela l’agaçait simplement, il a essayé de leur expliquer ce qui n'allait pas dans leur résonnement ; mais il s'est vite heurté à leur mauvaise foi.
Nerveusement c’est devenu très dur. Il est tiraillé entre les objectifs de l’entreprise et ce que souhaitent les clients (distributeurs et finaux). C’est très dur psychologiquement de voir ses valeurs personnelles complètement bafouées. Son entreprise est cotée et les valeurs humaines disparaissent progressivement au profil de l’aspect politique.

Au bout d’un moment, il lâche nerveusement et se retrouve dans une sorte de burnout. Le médecin l’arrête pendant une semaine. Il décide alors de faire un bilan de compétences, ne sachant pas trop sur quoi cela débouchera mais après tout.. il ne peut pas rester dans cette situation.
Il contacte plusieurs organismes, et passent plusieurs entretiens d’information au téléphone. La démarche flexible de Timeto lui plait, puisqu’il n’a pas tellement d’idée sur sa recherche.
Dès les 1ers tests il est content de sa démarche ; il les trouve intéressants et pertinents. De plus, il noue un très bon contact avec sa coach ; il ressort à chaque fois boosté des entretiens. En résumé le bilan l’aide à prendre du recul, à se projeter dans le futur sans non plus l’idéaliser.

Il décide de garder son poste, mais de créer une SCI en parallèle, afin de gérer des biens immobiliers ; il va donc acheter des logements, les rénover et les louer.
Ce nouveau départ a été difficile sur le moment ; il a eu des doutes ; il était dans une période de burnout, et il venait d’avoir un petit garçon qui l'empêchait de dormir la nuit.
Il a confiance en lui, et s’est appuyé sur cette confiance pour ‘faire les choses bien’. Il s’est entouré de personnes qui lui ressemblent ; fiables. Il s’est appuyé sur un ami avocat, un autre qui était courtier et l’a coaché sur le discours à tenir auprès des banques. Il a baissé le rythme. Le bilan a été pour lui un starter ; il prenait les choses personnellement et n’arrivait plus à discerner ce qui était urgent de ce qui ne l’était pas.

Il a beaucoup aimé le discours de sa coach : ‘Prenez le temps de reprendre plaisir dans votre travail. Si c’est partir pour avoir un échappatoire ca ne règlera pas le problème’. ‘Faites les choses tranquillement’. Cela correspondait avec sa manière de voir les choses.
Il a acheté une maison dans une ville à forte demande et l’a transformé en appartement. Il s’est senti poussé des ailes, il a même fait des propositions d’achats sans visiter le bien.

Maintenant plusieurs années ont passé depuis son bilan de compétences et le démarrage de sa vie professionnelle ‘double’. Son activité immobilière ne lui prend pas tellement de temps ; il se sent beaucoup mieux à son travail ; il a trouvé un équilibre. Il a compensé un travail stressant avec une activité épanouissante.

Philippe, 57 ans, exerce depuis bien longtemps le métier d’agent de sécurité à l’aéroport de Nice. Les horaires ne sont vraiment pas drôles… lever tous les jours à 3h du matin. Il a pris ce poste un peu par hasard ; il n’a pas suivi d’études et s’est dirigé là où le vent l’emmenait.

Depuis quelques années, il ressent un ras le bol quand il doit partir travailler…
Il doit supporter des passagers de plus en plus désagréables.
Parfois il se fait même insulter, sans pouvoir répondre.

Ses proches lui conseillent de faire un bilan de compétences.

Il n’y croit pas trop ; mais, pourquoi pas. Il choisit le centre le plus proche de chez lui ; Timeto.
Il apprécie la sympathie, la compétence et l’ouverture d’esprit de sa coach.
Lors du bilan d’orientation ; la piste de mécanicien nautique apparait. Ce sera pour lui une révélation.

Malgré son âge, (56 ans au moment du bilan), il se lance dans un CQP Mécanicien nautique.
Il a eu des doutes au moment de prendre cette décision. Repartir à l’école à 56 ans, ce n’est pas facile.
L’électricité et l’électronique ce n’était pas du tout son domaine.
Progressivement il s’est senti plus à l’aise, et a réussi son examen le 28 avril.

Il voulait juste ‘avoir une vie normale’ et n’en pouvait plus de ses horaires décalés et le manque total de reconnaissance.
Le bilan a servi de déclencheur.
Quand il a commencé sa formation il a tout de suite ressenti un bien être, une libération. « On m’a enlevé mes chaînes ».
Il se sent bien dans sa reconversion professionnelle.
Ce qu’il dit de ce nouveau travail ? « Je ne sais pas pourquoi je n’y avais pas pense. Je ne comprends toujours pas pourquoi cette idée ne m’était pas venue. Ca me convient complètement. Ca me plait énormément »

Je vais vous parler de Blandine. Elle est née en 1975, au Creusot, une petite ville en Bourgogne de 20 000 habitants. Elle était à la fois introvertie et souffrait de troubles du langage; du coup, elle était perçue comme stupide par le reste de la famille. Son père lui faisait faire beaucoup de vélo ; en pensant qu’avec le sport, elle pourrait faire plus tard un métier requiérant de la force physique, à défaut d’intelligence.

Les années passèrent, et finalement, elle decida de faire un bac C (l’équivalent du bac S actuel) juste pour leur montrer de quoi elle était capable. Elle rencontra Philip, un Allemand, qui faisait des études d’informatique à l’université Friedericana à Karlsruhe.
Elle passa alors le concours et fit les mêmes études afin de pouvoir le rejoindre dans son université à Karlsruhe.
Au bout de 5 ans, elle décrocha son diplôme d’ingénieur. C’est ainsi que Blandine travailla en tant qu’ingénieur en informatique, toute heureuse d’avoir une situation professionnelle stable et une vie personnelle épanouie.
Voici comment bizarrement on choisit parfois sa voie professionnelle…

10 ans plus tard… tout a changé… Philip a de gros problèmes psychologiques, ne travaille plus depuis 5 ans et le travail, qui au départ plaisait à Blandine, ne lui plait plus du tout. Il est devenu de plus en plus difficile pour elle de partir au travail le matin… et le soir de retrouver Philip déprimé à la maison.. Elle a fait un bilan de compétences, mais qui ne lui a rien apporté : ‘Vous n’êtes pas faite pour ce métier'. (ca elle le savait déjà), 'mais je ne peux pas vous dire pour quel métier vous êtes faite. Vous pourriez faire du bénévolat' (ben voyons ; et vivre d’amour et d’eau fraiche)’

Un mois plus tard, c’est le drame. Philip met fin à ses jours.
Blandine se retrouve seule, avec leur petit garçon de 5 ans.
Tout ce sur quoi elle avait basé ses objectifs personnels et professionnels s’est effondré d’un coup.
Plus rien n’a de sens ; le temps ne s’écoule plus. Les médicaments aident.. à occulter la réalité.

Mais un étrange hasard se produisit quelques semaines plus tard..
Cherchant du réconfort, elle surfe sur internet pour faire de nouvelles rencontres.
Le profil de Hervé, thérapeute spécialisé dans les deuils lourds et conseiller d’orientation apparait alors.
Elle décide de le rencontrer. Puis se ravise. Puis finalement va l’attendre à la sortie de son cabinet.
Il sera d’une aide importante ; il va l’aider sur le plan personnel, mais également, lui montrer, par un petit test simple et percutant, pour quel métier elle est faite et pour quel environnement professionnel elle est faite. En 2h, elle a appris plus sur elle-même qu’en 24h de bilan de compétences fait précédemment. Progressivement, elle prend confiance en elle ; et l’envie de se lancer à son compte se fait de plus en plus présente.

Néanmoins, quitter un travail (pas si désagréable que ca), bien rémunéré n’est pas chose aisée.
D’autant que la famille (ah ! la famille) est réticente : ‘Nous ne t’avons pas payé des études d’ingénieur pour que tu te mettes à ton compte’. Elle n’a en plus aucune connaissance dans le domaine dans lequel elle veut exercer : les bilans de compétences.

Qu’à cela ne tienne, chaque semaine elle dévore des livres sur le développement personnel.
En parallèle, elle va suivre des formations à Paris qu’elle finance elle-même.
Elle sent que pour la première fois, elle fait les choses pour elle ; et non par rapport à quelqu’un d’autre.
Elle passe en 3 quart de temps pour avoir le temps d’acquérir les connaissances pour mettre au point le type de bilan qu’elle souhaite. 6 mois plus tard ; Blandine quitte son travail d’ingénieur en informatique, et une nouvelle entreprise voit le jour… TIMETO.
Centre de bilans de compétences, qui répond VRAIMENT aux questions des candidats. On était en septembre 2008.
10 après, l’entreprise compte 7 consultantes, et est présente dans 6 villes de France.
Avec toujours la philosophie de contribuer à l’épanouissement professionnel de personnes de tout horizon.

Blandine : « J’aimerais que chaque personne ait la chance que j’ai eue quand j’ai rencontré Hervé; un coach qui soit suffisament bon pour vous permettre d’évoluer professionnellement (voire personnellement). Libre à chacun d’évoluer ou non ; mais au moins ; avoir la possibilité de le faire. Nous aurions pu développer TIMETO beaucoup plus ; au vu de la demande ; nous aurions pu avoir une 30 aine de consultants ; mais l’objectif est de préserver la qualité des services que nous rendons. Certains centres de bilans de compétences font des bilans en grand nombre, et de manière formatée. Il n’est pas question que TIMETO devienne un centre parmi d’autres ; les souffrances de personnes au travail sont beaucoup trop sérieuses pour que nous ne donnions pas le maximum pour les aider. »




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